Dans un dortoir, derrière les paupières d’un enfant, un rêve prend forme rythmé par le ressac d’une respiration qui s’apaise. Un personnage nommé « Smock » prend plaisir à gribouiller. Son corps est adulte, son plaisir est enfant. Les gribouillages se multiplient, les traits s’entrelacent, une danse libre et énergique dessine des hiéroglyphes jusqu’au moment... jusqu’au moment... où une forme se détache. Smock la suit et nous invite à emprunter un chemin de traverse où les images en mouvements se libèrent de leur silhouette.
La suite ne sera pas dite avec des mots, elle se vivra en votre présence.