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Nuits Métis :Temenik Electric, Boucan Clan, Orange Blossom, Kourou Fia,...

Le 24/06/2016 - Miramas - Plan d'eau Saint Suspi
Terminé
Publié par Redac . le 09/05/2016 - Modifié le 31/05/16 12:29
Nuits Métis :Temenik Electric, Boucan Clan, Orange Blossom, Kourou Fia,...

Ambiance world music pour la troisième journée du festival les Nuits Métis de Miramas.

Temenik Electric (France)
Les flamboyants porte-voix de l’Arabian-Rock

Après un premier album plébiscité par la critique internationale, les marseillais de Temenik Electric reviennent avec Inch’Allah Baby, nouvel opus d’Arabian Rock, amplifié par le vent sec et chaud du sirocco et serti d’une pop futuriste aux embruns de western oriental. 

La Batucada de la famille géant
Les déambulations festives de marionnettes monumentales

Ce spectacle réunissant 30 artistes professionnels et amateurs a été réalisé dans le cadre du programme annuel « Instants Métis ». 

Boucan Clan
Les artificiers bondissants du reggae métissé

Groupe kaléidoscopique et bondissant sur les planches, le Boucan Clan passe au crible toutes les musiques populaires, celles qui transpirent et celles qui se dansent sans fin… Du ska frénétique à la chanson poétique déjantée en passant par le funk gouailleur ou le turbulent rock psychédélique, le sextet sudiste délivre un voyage sonore au long cours, festif et généreux lors de prestations scéniques à l’énergie contagieuse. 

Kourou Fia
L’african groove d’un funky man

Issu d’une longue lignée de griots et fils du grand M’Bady Kouyaté, cet enfant de Conakry a grandi dans les traditions musicales ancestrales de Guinée, baignées par le crépitement mélodique de la kora avant sa rencontre-choc avec Richard Bona en 1993. Son coup de foudre immédiat pour la basse le pousse alors à naviguer vers les groove des black-musics américaines sans renier ses racines. 

Orange Blossom
La fièvre orientale dans le grand bain digital

Déjà 20 ans qu’Orange Blossom déploie sa fusion avant-gardiste de sonorités orientales et d’effluves subsahariens dans le chaudron rutilant des musiques digitales. Pour son grand retour, le groupe nantais orchestre magistralement le chant séculaire de l’égyptienne Hend Elrawy avec des machines démoniaques, un violon fantasque et des percussions insatiables, brouillant les frontières entre la musique électro et la world-music.

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