Avec son humour caustique et décalé parfaitement assumé, aime bousculer le public sans le choquer, passe en revue les travers de notre société et égratigne tout le monde. Prêt à en découdre avec le consensus, Timsit rit de tout, instille le malaise pour empêcher l’endormissement. Avec le mordant qu’on lui a toujours connu, rien n’échappera donc à son ironie cinglante !…
Si chaque comédien a par définition plusieurs vies, Patrick Timsit, lui, en a au moins trois : une vie de one man show, une vie de cinéma et une vie de théâtre. Il écrit, réalise et joue son premier seul en scène Timsit vite ! en 1994, avant de se faire happer par le cinéma, où il enchaîne les succès qu’on lui connait, et les nominations aux César en tant qu’auteur et meilleur acteur.
Après avoir joué au théâtre L’emmerdeur en 2005, ce n’est qu’en 2007 qu’il remontera sur les planches avec un nouveau seul en scène : The one man stand-up show.
En 2012, Gérard Gelas le met en scène dans Les Derniers Jours de Stefan Zweig de Laurent Seksik, aux côtés d’Elsa Zylberstein.
Suivront les spectacles joués au Chêne Noir en 2015, précédemment évoqués, et Le livre de ma mère d’Albert Cohen en 2018