Comme un pied de nez au centenaire de l’armistice de 1918, Baltazar Montanaro épingle l’illusion de paix dont notre société semble se griser en composant une dizaine de morceaux inspirés des haïkus de Julien Vocance.
Ecrits il y a 100 ans, les mots du poète et soldat drômois donnent la couleur et le tempo de la construction musicale. Puissance, profondeur des textes, explosions et silences, ce concert est construit comme une fresque sonore.