Rachid Taha n’a cessé de créer sa propre mythologie, mixant punk, chaâbi, électro et raï fiévreux pour s’ériger en dernier vrai rocker français de dimension internationale. En génie facétieux sorti d’une lampe d’Aladin sonore, il convoque l’esprit de ses idoles Oum Kalthoum ou Elvis Presley, sous l’œil conquis du gotha international (Mike Jones, Brian Eno) impressionné par ses prestations scéniques aux essences sulfureuses.