Après des débuts à Budapest, le jeune journaliste arrive à Paris en 1971, où il fait la rencontre de Henri Cartier-Bresson qui l’introduit à la communauté des photographes de la ville. Le nom de Gyula Zaránd vient alors compléter la liste des artistes hongrois venus faire carrière à Paris : Brassaï, André Kertész, Capa… Le regard du reporter sera toujours animé par l’envie de documenter et de raconter l’humanité sous un prisme social fort. Vernissage le 15 mars à partir de 19h.