Au milieu de l’Océan indien, face à l’infiniment grand, Marine Chesnais s’est posée mille questions : comment cohabiter ? Comment être présents ensemble dans un même espace sans que l’un domine l’autre?
Que doit-on abandonner ? De ce contact surréaliste, la danseuse a transposé sur scène la sensualité de l’eau, l’apesanteur, la gestuelle de l’animal, la synchronisation du souffle. Habiter le seuil appelle à reconnecter l’humain à la nature pour mieux la préserver.