Beethoven, concerto pour violon

Véritable « pilote de l’authenticité musicale » (Le Figaro), l’un des chefs français les plus appréciés dans le monde propose son interprétation sur instruments d’époque de deux symphonies de Mozart : la Symphonie n°35 tout d’abord, l’une des plus festives de sa riche production. Surnommée « Jupiter » par ses contemporains, pour évoquer la « perfection divine » de son écriture, la Symphonie n°41 était au début du XIXe siècle la préférée du public, qui appréciait ses moments de grâce alternant avec des tutti grandioses.

Entre deux, l’orchestre dialogue avec la soliste Chouchane Siranossian, véritable révélation dans le monde du violon baroque et classique, autour de l’unique Concerto pour violon de Beethoven.