En première partie les suisses de Nostromo pratiquent un grindcore technique, puissant, et enchainent les morceaux à fond la caisse. Le contact passe très bien avec le public qui est attentif et très réceptif au groupe. Pari réussi pour leur retour après quelques années d'absence.
Au tour de Hatebreed, une salle chauffée à blanc. Jamey Jasta, le chanteur, est aussi là pour faire bouger le public, et ça bouge bien dans tous les sens. Sur scène comme dans la fosse.
Par Philippe Albertini