Prenez un peu de grime anglaise, de la trap US et une verve elle bien hexagonale, rajoutez un petit côté vengeur masqué et vous obtiendrez l’essence de ce qui fait le rappeur de Courbevoie.
Depuis son premier clip fait maison sorti fin 2015, le rappeur de Courbevoie évolue en loup solitaire au sein d’une scène rap française de plus en plus organisée en collectifs. Mais peu importe, car si les textes sont résolument français, c’est du côté du grime anglais et de la scène trap US que notre homme puise ses inspirations.