Pour Paul Pascot, « un texte, c’est un mur d’escalade ». C’est pourquoi il a gravi, marche après marche, L’Amérique de Serge Kribus, subjugué par sa beauté, sa justesse, son acuité. D’abord par des lectures, puis par sa mise en scène délibérément épurée et éclairante. Dans un décor minimaliste – un escalier monumental seulement – il raconte le monde injuste où se débattent Jo, le pion électrique qui n’a pas froid aux yeux et Babar, le grand costaud qui a peur de tout.
- Avec Edward Decesari, Maurin Ollès.
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