Comme dans l’immeuble musical de son enfance, Hindi Zahra connaît tous les étages. Hindi Zahra sort de sa retraite, ses chansons l’appellent au large. A Cuba, en Jordanie, en Andalousie, en Egypte, en Italie.
Ces voyages et ces expériences rencontrent des passions musicales tenaces (Miriam Makeba, Cesaria Evora, Marvin Gaye ou Nina Simone), et dessinent la route ascensionnelle de Homeland.
Elle a terminé l’enregistrement de l’album à Paris, au bout d’une odyssée initiatique qui a duré deux ans et demi. Mais pour l’auditeur, ce n’est que le début du voyage.
Ouvertures des portes à 20h.