En coréalisation avec le Théâtre de Lenche et en partenariat avec le Journal Ventilo
« Qu’arrive-t-il lorsque la volonté abdique et que le corps se laisse guider par le mouvement ? Qu’arrive-t-il lorsqu’il se livre au plaisir d’être perdu dans l’immensité et le vide de l’espace ? à la recherche de la place correcte pour le corps, un corps dont les os, tintant comme du verre, sont les seuls qui perdurent. »
Francesca Foscarini s’articule et (re)découvre son propre corps. Sur une nappe sonore sourde émaillée du cliquetis des os, le corps est questionné, ébranlé, étiré, déployé, identifié dans une inquiétante et réjouissante étrangeté. Entre étonnement et crainte, la jeune chorégraphe et danseuse italienne pose la réflexion d’un corps qu’il faut bien s’assurer de posséder.