La création Coupé-Décalé, volontairement scindée en deux actes, présente le regard croisé que portent les chorégraphes contemporains sur cette pratique populaire (le coupé-décalé*), dont ils s’emparent, pour nourrir une “nouvelle langue chorégraphique”.
Dans l’acte 1, Mesdames et Messieurs, maintenant arrêtons de tourner autour du pot, la grande chorégraphe sud-africaine, Robyn Orlin, passionnée par tous les phénomènes dansés et identitaires liés à la culture noire, met en scène le danseur et chorégraphe, James Carlès, qui poursuit une recherche sur l’émergence des danses noires et leur circulation dans le monde.
Dans l’acte 2, On va gâter le coin, James Carlès propose sa vision du coupé-décalé dans une chorégraphie interprétée par des danseurs choisis pour leur connaissance et leur maîtrise de cette danse.
Ensemble, ces deux actes composent une soirée festive, marquée par l’humour et le style, notamment vestimentaire, propre au coupé-décalé.