« Dynamique et fluide, acrobatique et harmonieuse, foudroyante et soyeuse », la danse d’Hervé Koubi est inimitable, toujours renouvelée et pourtant immédiatement identifiable. Impossible d’oublier Ce que le jour doit à la nuit, Les Nuits barbares…, comme il sera difficile de ne pas se souvenir de Sol Invictus qui rend hommage aux cultures multiples et entraine dix-sept interprètes dans un vaste élan vital.
De Mikael Karlsson à Steve Reich et de Maxime Bodson à Beethoven, un flux musical audacieux traverse de part en part ce manifeste pour la vie imaginé par Hervé Koubi comme lumineux, généreux et universel. Sa nouvelle déclaration d’amour à la danse et aux hommes prend la forme d’un hymne puissant, à l’écriture foisonnante d’esthétiques, de styles, de langues.