Douze danseurs, la plupart venus de la danse de rue, ont fourni l’énergie nécessaire à ce projet à long terme, fait de rencontres puis de travail sur mesure avec chacun des interprètes. Nourri de peintures orientalistes, des dentelles de pierre de l’architecture islamique, Hervé Koubi trace son propre chemin, fait d’enchevêtrement, de tissage complexe. « Ce que le jour doit à la nuit donne à voir comme rarement l’extrême liberté des corps alliée à la totale maîtrise du geste chorégraphique...» Isabelle Calabre - Ballroom - avril 2015
Chorégraphie de Hervé Koubi