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Maria Joao Pires

Publié par Sylvie B le 08/10/2020
Maria Joao Pires

Le Festival de Pâques accueille une orfèvre du piano au Grand Théâtre de Provence le 10 avril à 20h30.

Maria João Pires incarne la plus haute élégance de l’art. En véritable orfèvre du clavier, elle adopte un jeu limpide, coloré, exigeant face à la partition, qui l’a hissée au firmament des pianistes d’aujourd’hui. De plus en plus rare sur scène, elle a choisi d’ouvrir le concert avec la Sonate n° 13 de Schubert. C’est l’une des plus populaires, des plus spontanées et des plus heureuses du compositeur, alors âgé d’une vingtaine d’années.

De Debussy, Maria João Pires sélectionne la Suite bergamasque, à nouveau une œuvre juvénile, qui dévoile des textures ouatées, des aigus scintillants et mordorés. Une autre gravité imprègne la Sonate opus 111 de Beethoven, véritable « adieu à la sonate » selon Thomas Mann, où le musicien, totalement rongé par la surdité, invente un univers sonore inouï d’où jaillissent des forces telluriques. Un récital où la ferveur s’allie à la spontanéité.

Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo
Kazuki Yamada, direction

Maria-João Pires, piano


Felix Mendelssohn (1809-1847)
Ein Sommernachtstraum, (Le Songe d’une nuit d’été), ouverture, op. 21

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)
Concerto pour piano n° 9 en mi bémol majeur, «Jeunehomme», K. 271

Robert Schumann (1810-1856)
Symphonie n° 1 en si bémol majeur, « Le Printemps », op. 38


Infos/réservations : festivalpaques.com

Dans le cadre du Festival de Pâques  :

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