Au XIX e siècle, nombreux sont les romantiques qui se passionnent pour la musique baroque et tentent de lui donner une seconde vie : après Mendelssohn, La Malibran ou Pauline Viardot, Brahms est de ceux-là.
Comme dans les salons baroques ou dans ceux des Lumières, le salon romantique a le même désir de partager, de commenter, de communier dans la musique, d'explorer de nouvelles voies.
L'Armée des romantiques, un nouvel ensemble « engagé », qui joue sur instruments anciens, loin des dérives actuelles de l'ultra médiatisation, redonne une nouvelle jeunesse aux pièces de musique de chambre les plus inspirées du grand compositeur allemand.
Photos : ©Robin Davies
+ d'infos : marsenbaroque.com