Les frères Fleischer pratiquent le surréalisme sans même connaître ce mot. L’animation leur permet de verser dans une sorte d’anarchie burlesque où le magique côtoie le rêve et où l’absurde est ami de la Commedia dell’arte. Revoir les « Koko » aujourd’hui, c’est constater l’extraordinaire liberté avec laquelle les deux frères abordaient l’art de l’animation et du cartoon.
En mêlant musique acoustique et électronique, Jean Bolcato et Guy Villerd proposent de petites histoires musicalisées où se mêlent compositions personnelles, reprises du Jazz (Sun Ra, Anthony Braxton, Don Cherry), chansons et improvisations.
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