Yohanne Lamoulère se confronte à une nouvelle série de photographies, où les corps semblent mentir, tout autant que les paysages. Ce corps qui renvoie à l’espace politique de la ville est tout proche, solaire, mais aussi cruel.
La photographe nous parle de désir et de sa propre trajectoire. Nous l’avons interrogé sur ces nouvelles images : « Elles seront classiques, dans la veine de la photographie naturaliste que j’aime tant. Je vous donne quelques pistes : les gravats, les trains, la nationale 113, les roseaux, la méditerranée, jaune, décembre 1993. C’est une fiction. »
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