Après leur triomphe l'automne dernier au Théâtre des Champs-Elysées, le quatuor a concocté son programme avec trois oeuvres, de la plus inattendue - le Mouvement lent (1905) d'Anton Webern, pièce à la verve brahmsienne - à la plus célèbre, le Quatuor à cordes n°8 (1806) de Beethoven, d'un lyrisme profond. A l'épicentre du concert jaillit le feu du volcan, avec le magistral Quatuor à cordes n°3 de Chostakovitch.
Dans le cadre du Festival de Pâques.