Une danseuse, une actrice, un plateau nu. C’est sans artifices, sans véhémence non plus qu’Émilie Charriot adapte Virginie Despentes. Plus qu’une charge féministe, King Kong Théorie se vit comme le récit d’une émancipation, l’affirmation d’une liberté. Celle d’un être qui entend rester debout, quoi qu’il arrive.