Chez Nicolas Barrome, on croise toutes sortes d'animaux poilus, des chiens qui louchent, des poulpes géants. Il peut donner vie aux fruits et légumes, se moquer des icônes religieuses ou mettre en image ses souvenirs d'enfance tels que la fête foraine ou les plats de Maman.
Sans se donner de limite, il emprunte à la fois aux grands maîtres de la peinture classique et aux créateurs de Bob l'éponge.