Dans one more thing, Benjamin Verdonck transforme, comme par magie, une petite valise en un théâtre miniature d’un mètre carré. Inspiré d’une phrase du texte Le diable sur les collines de Cesare Pavese, Verdonck assemble, au moyen de lettres qu’il fait coulisser, une fantaisie graphique abstraite sur la relativité des choses. Un spectacle en miniature, mobile et musical, pour quinze personnes en autant de minutes.