Manu Codjia - guitare
Géraldine Laurent - saxophone alto
Christophe Marguet – batterie
Un des plus beaux hommages à celui que l'on nommait Bird, par trois instrumentistes inscrits dans leur époque. L’œuvre de Charlie Parker s’avère alors d’une grande richesse mélodique s’adaptant aux polyrythmies si expressives et modernes de Christophe Marguet, aux sons et riffs d’Emmanuel Codjia. Le jazz ne s’est pas arrêté le 12 mars 1955 dans la maison d’une baronne et a continué bon gré mal gré son histoire dont on sent l’ombre dans les développements du jeu de Géraldine Laurent.