Le traditionnel concert du Nouvel An débute par un hymne à la légèreté parisienne incarnée par Offenbach. Après un rappel des malheurs du monde exprimés par Verdi (Va pensiero), on rit en Italie avec Rossini, on danse à Prague avec Dvořák ou parmi les cygnes russes avec Tchaïkovski. On tombe amoureux d’une gitane andalouse. Et voilà que nous valsons avec ivresse sous les lustres de Vienne avant de marcher vers l’année nouvelle.