Il y a tout juste cent ans, le Grand Théâtre de Marseille dans lequel si souvent, pendant la « Grande Guerre », on avait entendu des chants patriotiques, s’envolait en fumée sous les yeux des Marseillais consternés, un an après l’armistice du 11 novembre 1919. L’euphorie de la Victoire fit place alors à la tristesse et la reconstruction devint la priorité essentielle pour la population.