En prenant pour matrice la cinquième symphonie de Gustav Mahler, Jeanne Candel souhaite, selon ses propres mots, « mettre la musique à l’intérieur de nous ». Après Le Crocodile trompeur, d’après Purcell et Orféo Je suis mort en Arcadie d’après Monteverdi, Jeanne Candel a choisi Malher pour croiser à nouveau des liens entre théâtre et musique. Joyau sombre hanté par une force vitale érigée face à la mort, cette symphonie est tout un univers en soi.
Demi-Véronique (titre inspiré d’une passe de tauromachie) incarne la vie intérieure dans une mise en scène inspirée de la poésie visuelle des photographies de Karin Borghouts - jamais illustrative dans sa démarche mais prenant au contraire la forme d’une rêverie de théâtre.
- Avec Jeanne Candel, Caroline Darchen et Lionel Dray.
+ d'infos : theatre-lacriee.com