Ces spectacles ne devaient pas compter plus de deux ou trois personnages en scène et ne comportaient ni ballet ni chœur. Mais les maîtres du genre, comme Robert Planquette et Paul Henrion, surent faire beaucoup avec peu.Ainsi avec deux œuvres, créées autour de 1870 pour la soprano Anna Judic, seule en scène dans d’invraisemblables situations, « One woman show » avant l’heure... Ingrid Perruche relève le défi et incarne avec délice une femme de chambre sans-gêne et une chanteuse de café-concert.
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