On y retrouve l’empreinte qui a fait l’identité du groupe au cours de ses premières années d’existence - avec un travail sur le rythme et la transe - mais de nouveaux espaces sonores sont déployés avec un changement d’orchestration faisant basculer le son du groupe de l’électrique vers l’acoustique, utilisant les timbres naturels des instruments comme autant de matières sonores faisant référence à des matières organiques venant de la terre.
Une écriture dense au service d’un propos narratif, jalonnée d’espaces très ouverts où la liberté propre au Jazz et aux musiques improvisées prend toute sa place.
Dans le cadre de Jazz Sur La Ville 2017.