« Agop, c’est le nom que les Arméniens ont donné à mon grand-père. Au début des années 90, il a participé au conflit entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan. Dans un village où la quasi-totalité des habitants avaient été massacrés, il a découvert un enfant muet au pied d’un arbre. Il a déposé les armes pour mettre cet enfant, Hazzad, en lieu sûr. Je voulais écrire cette pièce pour redire aux enfants que rien ne justifie la guerre, rien ! J’ai rêvé ce spectacle engagé, drôle et généreux à l’image de mon grand-père.
J’espère qu’il lui ressemble. » Jean-Charles Raymond. Coincés dans le hall d’un aéroport, quatre personnages racontent la traversée rocambolesque dans Marseille de Hazzad, à la recherche de Monsieur Agop, l’Arménien, qui l’a sauvé quand il était enfant. Inspiré d’une histoire vraie, Monsieur Agop est un message universel de tolérance.