Après Récit de mon quartier où la gouaille méditerranéenne de Jean-Jérôme Esposito fonctionnait à merveille pour décrire un Marseille singulier, il nous revient avec un nouveau seul en scène sur une pièce de Fayçal Oubada sur la crise de la quarantaine.
Il incarne ici un homme accompli qui déclare : « Vieillir, c’est comme se retrouver dans des toilettes turques, on sait que ça va être difficile, tu essaies quand même et finalement tu te retrouves inexorablement dans la merde ». Voilà ce que déclare notre personnage le jour de ses 40 ans.
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