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Reportage : Anis + David Walters

Alors que le froid envahi tout Marseille, un micro-climat se tramait sur le Cours Julien hier soir, jeudi 4 décembre. Curiosité oblige, on fait le déplacement pour voir la cause de cette hausse de température. On se retrouve plongé dans l'univers d'un drôle de bonhomme, ah mais oui je le reconnais ! C'est tout simplement Anis et ses musiciens qui ont fait exploser la température de l'Espace Julien !

Publié par Pauline . le 25/08/2008 - Modifié le 31/12/08 00:00

Avant d'accueillir la vedette de cette soirée, c'est David Walters qui a eu l'honneur de faire la première partie. David nous le confie, il avait fait la première partie d'Anis il y a 4 années déjà, et l'artiste l'a rappelé pour son passage à Marseille. Connu des scènes marseillaises, il avait habitué le public à un tas de machines. Mais là, c'est seulement avec sa guitare que nous retrouvons l'ex-homme orchestre. Un univers plus intimiste pour un concert acoustique. Des textes touchants et toujours ce côté charmeur qu'il dégage, le public est conquis. Après son premier album Mèsi Bondyé sorti en 2005, David Walters travaille actuellement sur le second. C'est toujours avec autant de plaisir qu'on le retrouve sur scène !



Vers 21h, Anis fait son entrée sur scène accompagné de ses musiciens et c'est pas loin de deux heures de live qu'il va offrir au public marseillais. Un plongeon au coeur d'un univers bien à lui. Chansons à texte sur rytmes blues, reggae, soul et rock, il offre au public les titres de son dernier album "Rodéo Boulevard" sorti récemment. Toute la salle a déjà sur le bout des lèvres les paroles entêtantes de l'artiste "Ya des hauts, des bas, des bas et hauts..." et c'est en coeur que tout le monde se met à chanter. Un univers à la fois intimiste et entrainant, l'Espace Julien est séduit. 1h30 de musique et l'artiste, quitte la scène, mais le public n'a pas eu sa dose, un rappel, puis deux... il offre des reprises (Bob Marley...) mais également Cergy, titre coup de coeur son deuxième album. C'est à bout de souffle qu'il lance "Marseille, tu m'as tué !" avant de quitter la scène.

Anis sur scène c'est une autre dimension, un voyage à tenter sans hésitation !

Reportage Pauline V.

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