La Sultane, titre de son cinquième album sorti en 2025, puise son inspiration dans les origines arméniennes d’André Manoukian.
Sur scène, l’artiste aime à dire que ses origines orientales sont aussi celles de nos musiques occidentales. Son piano devient sa mémoire intime, son héritage culturel, une langue de tendresse.
Entre Orient et Occident, ses compositions soutenues par le phrasé spectaculaire des tablas indiens de Mosin Kawa, le violoncelle de Guillaume Latil, dessinent un horizon sans frontières, des arabesques levantines comme autant de routes initiatiques, de labyrinthes, de méandres, qui semblent épouser les plis et replis de nos mémoires.
« Ma Sultane, c’est ainsi que ma mère appelait ma petite sœur avant de la dévorer de baisers. Un mot turc pour exprimer l’amour débordant des mères arméniennes envers leurs filles. Les garçons avaient droit à : mon Pacha. » André Manoukian
Un concert avec une formation en quintet qui allie virtuosité, ravissement et délicatesse.
Durée 1h15
>Infos/billetterie en ligne : theatrelescale.fr