Le troisième enregistrement de Christian Sands pour le label Mack Avenue, l’établit comme un puissant leader dans la composition et la vision conceptuelle. Avec Be Water, la musique s'apparente à l'élément qui n'a pas de forme propre, prenant la structure de n'importe quelle composition musicale et performance dans laquelle elle se trouve et devient une nécessité universelle. Pour cet enregistrement, Sands a retrouvé le bassiste Yasushi Nakamura et le saxophoniste Marcus Strickland, et est rejoint par le trompettiste Sean Jones, le tromboniste Steve Davis, le guitariste Marvin Sewell et le batteur Clarence Penn.
Salué comme étant les nouveaux « Radiohead » du jazz anglais, le groupe Gogo Penguin s’est inspiré du rock, du jazz et d’influences minimalistes, mais aussi de la complexité d’Aphex Twin ou Four Tet pour créer leur musique punchy, expérimentale, mais toujours belle. Leur album v2.0 (2014) a été nommé « album de l’année » au prix Mercury aux côtés des albums de Damon Albarn, Young Fathers et Jungle. En 2015, ils signent chez Blue Note Records et sortent les albums « Man Made Object » en 2016 et « A Humdrum Star » en 2018. Leur EP, « Ocean in a Drop (Music for Film) » est sorti en octobre 2019. Leur dernier album « Gogo Penguin » est sorti le 1er Mai 2020.
Suite aux nouvelles mesures de restrictions prises par l'Angleterre en raison de la propagation du variant indien du Covid-19, le Nice Jazz Festival a pris la décision de reporter le concert de GOGO PENGUIN sur l’édition 2022.
Bonne nouvelle ! C’est le pianiste de jazz arménien Tigran Hamasyan qui se produira à Nice le 12 juillet prochain. Victoire du jazz en 2011, son dernier album « The Call Within » (sorti en 2020) bouscule toutes les frontières du jazz. Tigran Hamasyan est le pianiste de jazz le plus influent de la nouvelle génération !
Nés d’un intense mélange des genres et d’un robuste kamasutra de styles, LES RITA MITSOUKO ont, d’un coup d’un seul, souffert et bénéficié de leur environnement dans l’espace/temps franco-musical du début des années 80 : en dehors d’une poignée de rockers locaux plutôt courageux et d’artistes « new-wave » déjà astucieux, c’était, comme disait Coluche, une sorte de désert ! Donc tout y restait à inventer, ou presque.
Catherine Ringer a continué de chanter les RITA, elle tenait à honorer un engagement. Toujours le même. Cette promesse que les RITA MITSOUKO ont une vie propre.
---------------------------
Infos/réservations : nicejazzfestival.fr