Et si finalement le « Grand Jour » n’était parfois qu’une mascarade ? Si le « C’est pour toujours » portait déjà en lui les prémices de la rupture ? L’artiste a choisi de porter un regard décalé sur les protagonistes. Sa peinture délibérément expressionniste transpose alors leurs sentiments contradictoires. Le doute y jouxte la candeur confiante, la bienveillance côtoie l’amertume. Autant de sentiments que l’on peut déceler dans les regards ou les attitudes. Ne faut-il pas alors, à l’occasion, voir dans cette cérémonie un artifice de bonheur partagé ?