Antoine Leiris a perdu sa femme Hélène, le 13 novembre 2015, au Bataclan. Accablé par la perte, il n’a qu’une arme : sa plume. À l’image de la lueur d’espoir et de douceur que fut sa lettre Vous n’aurez pas ma haine publiée au lendemain des attentats, il nous raconte comment, malgré tout, la vie doit continuer. Il nous offre ce quotidien, meurtri mais tendre, entre un père et son fils. Un témoignage bouleversant.
Raphaël Personnaz, n’incarne pas l’auteur, mais se fait plutôt transmetteur d’un message avec une sobriété et un tact magnifiques. Entre le souffle de vie et la pudeur d’une pièce qui, comme le texte originel, ne cherche pas l’émotion.
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