Inspiré du film Les Maîtres fous de Jean Rouch, elle convoque sept femmes – comme les sept samouraïs – enfermées dans un gynécée à la blancheur virginale, aux murs solides progressivement ramollis et déformés. Prisonnières de ce plafond de verre jusqu’à l’étouffement, elles entament peu à peu un terrible rituel, entrent en transe, recouvrent leurs corps nus de peinture rouge, oscillent entre le masculin et le féminin pour abattre le modèle patriarcal… Une pièce de gestes comme une onde de choc !
Une « pièce de l’eau et du visqueux » à vivre comme une expérience intense.
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