Hier soir, le Delta Festival a encore prouvé pourquoi il est devenu l’un des rendez-vous incontournables de l’été marseillais.
Sous un coucher de soleil estival et face à une foule en liesse rassemblée sur la plage du Prado, le duo électro Ofenbach a livré un show aussi surprenant qu’explosif, confirmant son statut de véritable machine à tubes et à performances scéniques.
Des clones pour un double show
C’était l’une des grandes surprises de cette édition : en lien avec leur dernier EP Cloned, le duo Ofenbach est apparu sur scène… en double. Chacun des deux DJs avait trouvé son sosie – musicien, de surcroît – pour les accompagner plus d’une heure durant. Une mise en scène pour le dernier concert de leur tournée aussi déstabilisante que ludique, qui a dédoublé l’énergie du duo et renforcé la communion avec le public.
Pour appuyer le propos, les écrans LED diffusaient des messages d’affirmation de soi tels que « U are unique. Be yourself. », rappelant que derrière le jeu de miroirs scénique se cachait un message d’émancipation personnelle.
Un enchaînement de tubes
Le set a démarré fort avec l’incontournable Be Mine, lançant immédiatement l’euphorie collective. Ofenbach a ensuite alterné ses classiques – Katchi, Head Shoulders Knees & Toes, Wasted Love et Hurricane – dans un enchaînement calibré pour faire danser la foule. Seul Paradise manquait à l’appel, un choix qui n’a en rien entamé l’enthousiasme des festivaliers.
Un final pyrotechnique inoubliable
Vers 22h45, le duo a conclu son show sur une note magistrale, parfaitement synchronisée avec le feu d’artifice tiré chaque soir depuis la plage. Explosion de lumière et de sons ont scellé une communion festive, marquant cette soirée d’un sceau inoubliable.
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