Le festival a encore rassemblé les foules cette année, à l’occasion de la 7ème édition baptisée World Edition.
Et il y en avait, du beau monde. De PNL en passant par Sean Paul, Carl Cox, NTO, Bigflo et Oli, The Avener, Polo & Pan, Riles, Kungs…
Sans oublier les invités surprises : Soprano et Soso Maness…
C’est près de 250 artistes qui se sont succédés sur les différentes scènes du Delta.
Sous un soleil de plomb, les festivaliers pouvaient alterner entre les déhanchés et les pas infernaux à en soulever un nuage de poussière, se baigner dans la rade où des jeux aquatiques étaient installés, ou encore s’assurer quelques sensations fortes dans un manège qui, vu d’en bas, semblait plus être une machine de torture qu’un lieu d’amusement (mais ceci n’est qu’un avis très personnel).
180 000 fêtards étaient prévus durant les 5 jours du festival, remplissant ainsi la plage du Prado, qui ne trouvait aucun répit. Et, compte tenu de cette affluence spectaculaire, il convient de saluer la qualité de l’organisation, qui a permis à tous de vivre un très bon moment.
Niveau son, si on passera sur les rares performances acoustiques discutables de quelques artistes, là aussi, la qualité était au rendez-vous. Les basses de PNL ou de NTO sur la scène principale « World Stage » ont fait frémir les aficionados.
Tout comme Hatik, vêtu aux couleurs de l’OM, qui faisait chanter à cappella son public. Même son de cloche du côté de la seconde scène, « mer de sable », dans une ambiance résolument plus techno, où les éruptions de flammes se mêlaient aux platines du Bask, Maceo Plex ou encore Vini Vici… et bien d’autres
On ne sait pas pour vous, mais nous, on a déjà hâte de la prochaine session !
Le Delta 2022, en images