La Terre, notre planète, se meurt. L’être humain, qui la domine, a inventé la philosophie, l’art, la science ainsi qu’une multitude de connaissances et de savoir-faire mais en parallèle il a également développé le consumérisme, la destruction des terres et des mers, l’exploitation des autres espèces, en même temps que de la sienne. Il est la seule espèce à avoir développé la capacité de détruire son propre environnement, sans avoir développé la sagesse de ne pas le faire. De la Terre et de l’Homme, difficile de savoir lequel est le plus mal en point. En s’appuyant sur le texte de Jean Giono « L’homme qui plantait des arbres » la pièce ouvre les portes aux actions positives de l’homme sur son milieu et de l’harmonie qui peut s’en suivre.
Wood nous questionne, à travers le dialogue entre une danseuse et une marionnette, sur la relation de l’être humain à la nature et de l’Homme à l’objet.
La création à l’adresse du jeune public a transformé ma vision de la danse. Entre poésie et engagement, recherche esthétique et militantisme, ce secteur de la création est le creuset d’aventures artistiques formidables. Le contact vécu auprès du public, enfants et adultes, me donne l’envie d’approfondir mon travail dans ce sens.
Durée : 45 min
Billets séance partagée avec les scolaires à 15€
tarifs proposés dans la limite du quota disponible – en vente exclusivement au guichet