Voilà le corps d’Alexandre Paulikevitch : dans le solo de danse A’alehom, A l’attaque, dans cette oscillation lumineuse du ventre du Baladi qui devient un aiguillon sensible. Voilà ce à quoi il veut tendre : une résistance sensible qui transmue le deuil, la rupture amoureuse, les coups ou l’explosion meurtrière du port de Beyrouth en une danse à nu résiliente. Parce que le corps peut encore nous émerveiller dans le malheur. Parce que le corps irradie encore au cœur des nuits libanaises.
Un spectacle d’Alexandre Paulikevitch
Durée : 40min
Infos/réservations : lesrencontresalechelle.com