La pièce s’est élaborée au cours d’une résidence à la Villa Dar Eyquem à Hammamet et se présente au lendemain des printemps arabes comme une réflexion en chair et en os sur la fragilité des idéaux révolutionnaires et le prix de la liberté. Un jeu entre les danseurs français et tunisiens et un décor de portes suspendues permet d’interroger ces nouveaux seuils, ces épreuves de passages et indique un chemin dans un labyrinthe plein d’obstacles. Tour à tour, ces portes qu’on pousse s’ouvrent sur nos peurs, l’abîme, l’illusion, mais aussi le rêve, l’espoir, la vérité. Une invitation au dialogue et au partage.
+ d'infos : anthea-antibes.fr