Certains sont marqués par la déchéance de la corrosion, telles les ferrailles rouillées, quand d’autres attendent de connaître une vie, des restes de peinture périmée. Assurément sensible à toute transformation, le plasticien, aussi danseur, observe le comportement de ces substances dégradées en confrontant leur densité et texture.
Opposant les à plats tendus de peinture raclée, effacée, étirée, à la matière brute de supports ferreux, il donne vie à Rouille et Cendres.
À ne pas manquer : la performance de Jean-Antoine Bigot, samedi 9 mars à 19h dans le hall de KLAP.