Vingt quatre titres, choisis avec un soin extrême qui traduit à l’évidence une parfaite connaissance de l’œuvre d’un des plus fins ciseleurs de la chanson française.
L’entreprise était pourtant périlleuse, à en juger par le peu d’interprètes qui s’y étaient risqués jusque-là. Un pari audacieux qui visait à revisiter sans trahir. Jean-Marc Dermesropian a soutenu la gageure, réussite inespérée qui a suscité ce commentaire élogieux de notre Pierrot national : " On n’a pas vraiment le luxe de louper un gus de cette trempe ! ".