Un homme tombe amoureux d’une femme peinte sur une fresque… et traverse le mur pour la rejoindre dans la peinture. Partant de la trame de ce conte chinois Angelin Preljocaj démontre une nouvelle fois ses imparables talents de conteur : sans les mots, sa danse mène le récit ; les danseurs se font dialogues ; la scénographie anime et illustre ; la musique donne le ton et ponctue le suspense. De son écriture chorégraphique épurée et somptueusement esthétique il nous mène au cœur d’une aventure poétique.