Avec un peu de la joie que chacun tient en soi, Kader Attou a imaginé un poème à la vie pour huit danseurs. Il est allé à la rencontre de la poésie partout où elle se trouve, dans le corps des danseurs, dans le burlesque, le roman graphique ou le cinéma, et a puisé dans son langage hip hop une nouvelle écriture. Des mouvements perpétuels, déliés et souples, une force physique alliée à une fluidité des gestes pour rêver une traversée onirique du monde qui nous entoure. Il a accueilli quatre nouveaux danseurs dans sa compagnie Accrorap comme on greffe un arbre au printemps, et la sève monte bouillonnante !