Commence alors une traque, relevant autant du rêve éveillé que du cauchemar car la singulière galerie de portraits, hommes, chiens et loups que croise M dans sa folle nuit ne semble pas avoir d’autre but que de lui faire la peau. En une nuit, M fera l’expérience de l’amour, de la mort et de l’amitié, devenant proie et prédateur. Tueur pour ne pas être tué.
Ce spectacle oscille sans cesse entre le conte traditionnel, la série B, le film noir ou la farce et sous l’effroi affleure le rire. De cet équilibre subtil nait l’histoire d’un Candide noir et apocalyptique, une course-poursuite vers la liberté.