Dans Solo, Arturo Brachetti nous ouvre les portes de sa maison d’enfance pleine de souvenirs et de fantaisies ; une maison hantée sans adresse et hors du temps qui symbolise cette boite à souvenirs que chacun possède, cachée au fond de soi. Pour accéder à cet imaginaire, Brachetti emprunte un chemin illusionniste, mettant en scène des disciplines dans lesquelles il excelle : les ombres chinoises, le mime ou la chapeaugraphie, mais aussi des nouveautés surprenantes... Le transformisme, cet art qui l’a rendu célèbre dans le monde entier et qu’il complète avec 50 nouveaux personnages, sera encore une fois l’occasion d’une féerie.