Les mots comme les notes sont ici des chants de souffrance vécus au quotidien. Dire l’indicible, évoquer la souffrance, l’incroyable, Serge Barbuscia y parvient parfaitement. Face à la déshumanisation, la réponse est la révolte de l’homme, son cri de liberté.
L’instinct de survie, la soif d’amour et d’humanité rattrapent l’oeuvre de mort engagée. La salle est à l’écoute, figée par l’émotion.
Mis en scène et avec Serge Barbuscia, d'après Primo Levi et Pieralberto Marchesini. Au piano : Roland Conil.